L’idée est de titiller les algorithmes en automatisant des contenus. On peut soit, choisir des citations ou les créer, on peut même faire des blagues, des farces… Le growth farcing est souvent ironique voire cynique. L’objectif est d’appâter l’algorithme mais aussi de faire passer un message de fond.
Créer un concept marketing peut paraître complexe. Pourtant il suffit de le documenter et de le rendre populaire. Par exemple comme ici faire une définition. Vous pouvez publier aussi votre concept dans des forums marketing. Une validation via un site institutionnel le légitime automatiquement.
Comment ne pas le considérer comme du content marketing ! Celui ci peut répondre à votre stratégie éditoriale mais aussi améliorer vos cocons sémantiques. C’est un dispositif original pour une stratégie d’inbound marketing. Celui pourrait se voir bonussé par Google par son contenu et son concept UNIQUE, donc une aubaine pour le SEO.
Certainement il y a une passerelle entre les 2 concepts, on pourrait dire que le growth hacking est le chapeau du growth farcing. L’objectifs est de générer du trafic.
La création du #growthfarcing permet de catégoriser et archiver le concept en un endroit.
Pour contrer les algorithmes, qui en fonction de vos likes vous propose une soupe sur mesure. Un collectif d’artistes qui lutte contre le capitalisme de surveillance a mis en place un plugin pour navigateur qui utilisera l’ensemble des humeurs de manière aléatoire.
GrowthFarcing, c'est aussi le nom du robot LinkedIn de Nicolas Bermond, il travaille pour lui la mise à jour des statuts, guerre informationnelle, la perturbation positive de l'algo. En gros il fait en accord avec une ligne édiroiale, tout ce que son proprietaire ne veut pas faire.
Exemple de mon robot LinkedIn
Nicolas
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